Ton prénom est ton premier cadeau, ton premier outil, et ta première aventure.
Embrasse-le, explore-le et laisse-le te révéler au monde.
Découvre le pouvoir de ton Prénom
Il y a des prénoms qui brillent,
des prénoms qui portent un secret,
des prénoms qui, depuis des siècles,
résonnent au fond du cœur de l’Église.
L’aventure de nos carnets est née d’une question toute simple,
posée par un petit garçon en rentrant de l’école :
« Maman, est-ce que d’autres que moi ont déjà porté mon prénom ? »
Derrière cette phrase innocente,
s’est ouverte une porte lumineuse :
celle des saints, des bienheureux, des héros de Dieu.
En répondant à cette question,
nous avons découvert un trésor :
chaque prénom a une histoire,
une racine, une mission,
et surtout un saint patron qui veille, inspire et guide.
Alors nous avons voulu offrir aux enfants
un objet beau, doux et profond :
un carnet pensé comme un compagnon de route,
où l’enfant découvre son saint patron,
sa vie, ses vertus, ses prières
et les efforts concrets pour l’imiter au quotidien.
Chaque carnet est fabriqué avec soin :
des textes adaptés aux enfants,
des illustrations élégantes
et une mise en page pensée pour émerveiller.
Notre désir est simple :
permettre à chaque enfant de grandir dans la lumière de son prénom,
de connaître celui ou celle qui marche avec lui,
et de sentir que la sainteté n’est pas un rêve,
mais un chemin ouvert pour chacun.
Bienvenue dans cette aventure spirituelle et poétique.
Bienvenue dans l’histoire de votre prénom.
Notre histoire
Je m’appelle Mathilde, j’ai 40 ans, je vis à Toulon Bay depuis 3 ans.
J’ai la chance d’avoir trois enfants, Gustave, Léonard et Théodora, et un mari qui déchire !
Diplômée de L’École du Louvre, j’ai travaillé dans le journalisme féminin, mode, photo, expo…
Et puis j’ai rencontré Adèle et Nathalie d’émoi émoi. Après huit belles années à écrire pour les mamans poules et les mamans cools (et les papas aussi !), j’ai eu envie de passer à autre chose.
Gustave est mon souffleur d’idée. En rentrant de l’école un soir, il me demande si avant lui, d’autres ont porté son prénom.
J’avais pour Gustave une mauvaise et une bonne nouvelle : La mauvaise c’est que oui, il y en avait eu d’autres et pas des moindres, la bonne, c’est que j’allais les lui raconter !
L’idée était née.